Un nouveau modèle de souris va enfin permettre de travailler sur le stade précoce de la maladie d’Alzheimer. Pour l’obtenir, des chercheurs de l’Inserm ont introduit un vecteur viral contenant des gènes impliqués dans la maladie dans le cerveau d’animaux sains. Ils ont ainsi pu décortiquer les premières étapes de pathologie dans des conditions similaires à l’environnement cérébral humain. Lire

Maladie d’Alzheimer : 11 nouveaux gènes de prédisposition

Coordonnée par l’unité mixte de recherche (UMR 744) Inserm-Institut Pasteur de Lille-université, l’étude a été réalisée dans le cadre du consortium international I-GAP (international genomics of Alzheimer project).La méta-analyse (analyse d’analyses) implique les chercheurs des quatre plus grands consortiums de recherche internationaux sur la génétique de la maladie d’Alzheimer. Ces experts ont scruté les données de quatre études d’analyse de

Le système nerveux et ses perturbations

Chapitre 2 : le système nerveux et ses perturbations Quelles sont les cellules qui composent notre cerveau ? Comment le fonctionnement du cerveau peut-il être perturbé ? I – Le cerveau : un centre nerveux Bilan : le cerveau est composé de différents lobes spécialisés dans le traitement d’informations différentes. Le cerveau est un centre nerveux qui intègre en permanence

Des neurologues ont identifié une protéine qui pourrait être la cible d’un nouveau traitement pouvant ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer. Cette cible, la sphingomyélinase neutre (N-SMase) est une protéine qui, lorsqu’elle est activée, peut provoquer une réaction en chaîne dans la cellule conduisant à la mort neuronale et à la perte de mémoire. Les résultats de l’étude financée

Un chercheur de l’Université McGill de Montréal et des collaborateurs internationaux ont modifié les gènes d’un rat; créant ainsi le modèle idéal pour l’étude de la maladie d’Alzheimer chez l’humain.