De la poésie à la biologie …

Quelques mots juxtaposés et nous voilà en rêve, une utopie alliant poésie et biologie, l’ Histoire de la vie en rhapsodie. Cette page rassemble les poèmes, aphorismes et autres chansons apportant une évasion littéraire et une douce lumière… Supplique d’un enfant à ses enseignants Le pouvoir des fleurs Le souffle d’un roseau Couleurs d’Automne Les sanglots de l’automne Le lac

Chanson : Le Pouvoir des Fleurs de Laurent Voulzy Je m’souviens on avait des projets pour la terre pour les hommes comme la nature faire tomber les barrières, les murs, les vieux parapets d’Arthur fallait voir imagine notre espoir on laissait nos cœurs au pouvoir des fleurs jasmin, lilas, c’étaient nos divisions nos soldats pour changer tout ça changer le

Le souffle d’un roseau

Le souffle d’un roseau Henri de Règnier Un petit roseau m’a suffi Pour faire frémir l’herbe haute Et tout le pré Et les doux saules Et le ruisseau qui chante aussi Un petit roseau m’a suffi A faire chanter la forêt Ceux qui passent l’ont entendu Au fond du soir, en leurs pensées Clair ou perdu, Proche ou lointain… Ceux

Couleurs d’Automne Jean-Claude Brinette Arbres remplis de fruits qu’en cette saison la nature Nous donne généreusement ! Gaieté dans les vignes où les raisins bien mûrs Sont cueillis en chantant. Premiers brouillards et champignons cachés des bois Nonnettes voilées, bolets bais… Sous les noyers les enfants cherchent les dernières noix Que le vent fait tomber. Dans un grand champ un

Les sanglots de l’Automne

Les sanglots de l’Automne Paul VERLAINE Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon coeur D’une langueur Monotone Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m ’emporte De-ci, de-là, Pareil à la Feuille morte.

Le lac

Le lac Alphonse de Lamartine Ainsi toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre d’un seul jour ? O Lac ! l’année à peine a fini sa carrière Et près des flots chéris qu’elle devait revoir Regarde je viens seul m’asseoir sur cette pierre Où tu

Lorsque l’enfant paraît

Lorsque l’enfant paraît Victor HUGO Lorsque l’enfant paraît le cercle de famille Applaudit à grands cris ; son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être ? Se dérident soudain à voir l’enfant paraître, Innocent et joyeux. Enfant vous êtes l’aube et mon âme est la plaine Qui des plus