Plus les taches sombres sont nombreuses à la surface de l’astre, plus ce dernier est actif. Et si le CO2 n’était pas le principal moteur de l’évolution du climat ? S’il n’en a pas encore la «preuve absolue», Vincent Courtillot, professeur à l’université Paris-Diderot et chercheur à l’Institut de physique du globe de Paris, est plus que jamais convaincu que le soleil joue aussi un rôle majeur.
Réchauffement: quand le Soleil s’en mêle