Une équipe de San Diego a mis au point des particules nanométriques qui, injectées dans la circulation sanguine, neutraliseraient une vaste famille de toxines.
Les nanoéponges à toxines font environ 85 nanomètres de diamètre (à gauche, une image obtenue par microscopie électronique). Elles sont constituées d’un cœur en polymère biocompatible (en vert sur le schéma), revêtu d’une membrane de globule rouge. Les toxines (petites particules sur le schéma) se fixent sur cette membrane, puis sont absorbées par le polymère. Plus d’informations.