Après les lapins et des souris c’est maintenant au tour des chats. La création de ces animaux génétiquement modifiés pour avoir des poils fluorescents n’est pas qu’une lubie de savant fou. Elle permet de valider des techniques de manipulation génétique qui pourraient avoir des implications dans le traitement des maladies humaines.
Ainsi ces chatons créés par des chercheurs de la clinique Mayo ouvrent des pistes d’étude en neurobiologie, en modélisation des maladies et pour la recherche contre le Sida. C’est par introduction d’un vecteur viral porteur d’un gène de fluorescence (découvert chez une méduse) dans un ovocyte que les chercheurs ont pu obtenir trois chatons brillant d’une lumière verte sous ultraviolet.