« Ils boycottent les cédilles, le pluriel des adjectifs, les accents, la ponctuation, les traits d’union, les exceptions… Ils écrivent une copie d’examen comme ils rédigent un SMS. » l’article du Parisien daté du 28 septembre 2009 tire la sonnette d’alarme.
Les recruteurs font désormais de l’orthographe un critère de sélection.
Non l’orthographe n’est pas une fatalité,
Non l’orthographe ne concerne pas uniquement le français (la matière)
L’Orthographe reste une course de fond, un réflexe interdisciplinaire, de l’histoire géo en passant par la technologie sans oublier les SVT !
(et si l’ensemble des évaluations réalisées dans l’hexagone comportait 2 points sur 20 sur l’orthographe ?)